Dans l’optique des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris en 2024, le Palais Galliera – Musée de la Mode de Paris inaugure une toute nouvelle exposition présentée dans les galeries Gabrielle Chanel du musée: «La Mode en Mouvement», du 16 juin 2023 au 7 septembre 2025. Une exposition qui bénéficiera de trois accrochages successifs (le 1er se terminera le 15 mars 2024), afin de garantir la conservation des œuvres, mais aussi de renouveler le parcours et inviter les visiteurs à revenir dans ce merveilleux musée.
Dans la continuité de l’exposition «Une Histoire de la Mode. Collectionner, exposer au Palais Galliera», organisée en deux accrochages du 2 octobre 2021 au 26 juin 2022 (voir l’article dédié sur ce blog), cette nouvelle narration des collections du musée ambitionne de poursuivre le récit historique de la mode du 18e siècle à nos jours, tout en explorant une thématique incontournable aujourd’hui -tant le sportswear et l’idée de confort et de bien-être a envahi nos garde-robe: la question du mouvement dans la mode, de l’évolution du rapport au corps -notamment féminin- au cours de l’histoire et ses conséquences sur la construction du vêtement, ou encore les liens évolutifs entre sport et mode dont les influences mutuelles n’ont cessé de s’accélérer.
A travers 200 pièces issues des archives conservées au Palais Galliera, mais aussi de prêts de grandes Maisons de mode (Chanel, Hermès, Sonia Rykiel, Yohji Yamamoto) et d’institutions culturelles (Musée national du Sport de Nice, Bibliothèque Forney de Paris), le parcours chronologique de l’exposition met en parallèle la garde-robe de ville et le vestiaire sportif du 18e au 21e siècles, mettant l’accent sur leurs divergences et surtout sur leurs rapprochements croissants.
On y découvre les évolutions des matières, des silhouettes et des pièces de mode -vêtements, accessoires, chaussures- qui vont progressivement réduire la contrainte qu’elles imposent au corps pour en libérer le mouvement, et se spécialiser ensuite jusqu’à introduire le sportswear dans notre quotidien.
Un rapport au corps qui évolue en même temps que les activités physiques et sportives se généralisent, et que le besoin de confort et de performance s’accroît, imposant à la mode de s’adapter et d’innover. Les chaussures d’abord, puis les vêtements et accessoires, se transforment ainsi et trouvent de nouvelles fonctionnalités pour répondre aux nouveaux besoins de la société. L’exposition nous ouvre alors les portes de cette histoire du sport et de ses influences sur le monde moderne et en particulier la mode:
De la naissance du sport (et du mot sport) et des premiers jeux de compétition dans la haute société anglaise puis française du 18e siècle, aux théories hygiénistes du 19e qui encouragent les activités physiques pour entretenir la santé -équitation, promenade, bains de mer, chasse, tennis, golf, croquet, escrime; de la démocratisation du sport avec l’arrivé du cyclisme, à l’essor des sports automobiles pour la haute société au tournant du 20e siècle; de la création des fédérations unisport et des compétitions sportives dans l’entre-deux-guerres, à la valorisation du corps athlétique dans les années 1980; de la montée du sportswear dans les années 1990 à sa toute puissance au 21e siècle… jusqu’à l’hégémonie de la basket et de la sneaker devenues icônes de mode.
VISITE DE L’EXPOSITION
L’exposition s’ouvre sur deux tenues de bain du début et du milieu du 20e siècle, symboles du changement de regard de la société sur le corps. Un corps qui, vous allez le voir, au fil des décennies, va revendiquer toujours plus de confort et une véritable hygiène sportive.
La visite nous apprend ainsi que, si la mode s’impose d’abord au corps en le contraignant face aux exigences esthétiques et sociales, elle va peu à peu s’adapter aux évolutions sociétales et libérer ce corps qui ne demande qu’à bouger. Longtemps opposés, mode et mouvement vont ainsi se rapprocher jusqu’à leur interdépendance.
Le parcours commence par de sublimes et rares pièces du 18e siècle. On comprend alors combien les robes à panier et les corps baleinés du début du siècle pouvaient empêcher la fluidité des déplacements et réfréner la mobilité des femmes. Les hommes, eux, bénéficiaient de plus de liberté grâce à des pièces plus larges.
Mais rapidement, dès la fin du 18e et surtout au début du 19e, les robes imposantes vont laisser place aux robes droites et lâches qui vont un temps libérer le corps féminin. La plus célèbre des illustrations de cette légèreté émergente est certainement le portrait de Marie-Antoinette à la rose en robe de mousseline dite aussi «à la créole», «en chemise» ou «en gaulle», réalisé en 1783 par Elizabeth Vigée-Lebrun -et qui fît scandale à l’époque.
On apprend aussi dans cette section que finalement, si le vêtement masculin -habit et culotte ou pantalon- a peu évolué, c’est surtout celui de la femme qui a connu le plus de bouleversements. Aussi, comme l’exposition le propose elle-même, je vais ici surtout me consacrer aux évolutions de la garde-robe féminine.
S’ouvre alors le siècle de toutes les modes: le 19e siècle. Cette période est marquée par un renouvellement toujours plus rapide de la silhouette des femmes. Une mode féminine changeante qui se fait l’écho des rythmes de vie qui s’accélèrent, portés en France par la révolution industrielle et la succession de nombreux régimes politiques: Premier Empire (1804-15), Restauration (1815-30), Monarchie de Juillet (1830-48), IIe République (1848-52), Second Empire (1852-70) et IIIe République (1870-1940). Ainsi, le 19e voit les volumes fluctuer -manches gigots des années 1830-40, crinoline des années 1850-60, tournures et poufs des années 1870-80; la taille s’affiner avec le corset; et le nombre de tenues quotidiennes augmenter au regard des activités de la journée qui se multiplient -tenues d’intérieur, de promenade, de soirée…
L’exposition inaugure ensuite le 20e siècle avec la silhouette 1900 qui, au contraire du début du siècle précédent, va contraindre de nouveau le corps avec une silhouette en forme de S, corsetée au maximum et plus que jamais rigide. Une silhouette Belle Époque qui véhiculera l’image d’une Parisienne au sommet de l’élégance lors de l’Exposition Universelle de 1900.
Une décennie plus tard, les années 1910 vont de nouveau chercher à libérer le corps avec l’entrée en scène de créateurs comme Paul Poiret -suivi par Jacques Doucet ou Jeanne Paquin- qui vont supprimer le corset et simplifier la silhouette avec des robes fourreau ou taille haute.
À ce foisonnement de toilettes appropriées aux mondanités de la journée et du soir, et qui se succèdent tout au long du 19e siècle, vont alors s’ajouter des vêtements et accessoires qui accompagnent la féminisation de la pratique sportive entre les années 1830 et 1910, avec le développement de l’équitation, des bains-de-mer, de la chasse à tir, du lawn-tennis, puis du golf, du croquet ou encore de la conduite automobile. D’abord réservées à une clientèle aristocratique et bourgeoise, les nouvelles activités physiques vont se démocratiser avec la popularisation du cyclisme ou de la natation.
D’abord composée de simples adaptations des tenues quotidiennes, la garde-robe des femmes s’agrémente peu à peu de nouveaux éléments spécialement dédiés aux activités sportives, qui sont soit créés de toute pièce ou parfois même issus du vestiaire masculin. Un vestiaire masculin qui s’est déjà spécialisé pour gagner en confort et en performance lors de la pratique désormais régulière des sports. L’exposition nous présente ainsi un beau panel d’objets et vêtements sportifs, masculins et féminins.
On peut ainsi observer les tenues et accessoires d’équitation spécialement conçus pour permettre aux femmes de monter en amazone sur leur chevaux – on trouve ici des robes composées d’une veste (ou corsage) et d’une longue jupe, mais aussi des chapeaux haut-de-forme ou canotier, ou encore différents modèles de bottes.
On découvre aussi des vêtements de bains étonnants: réputés pour être bons pour la santé, les bains de mer se répandent tout au long du 19e siècle, en même temps que les chemins de fer et les stations balnéaires se développent. Si femmes et hommes doivent d’abord se baigner séparément, et si le vêtement de bain, réalisé en lin, laine ou flanelle, doit au départ couvrir tout le corps, peu à peu la peau se dévoile et le costume de bain se fait de moins en moins couvrant.
L’exposition nous présente ensuite les tenues parfois originales dédiées à la pratique du cyclisme dès les années 1870-80: certaines femmes adoptent ainsi la culotte directement issue du vestiaire masculin. Une culotte bouffante ou «bloomer» inventée par la féministe américaine Amelia Jenks Bloomer (1818-1894), qui provoquera souvent le scandale et fera dire aux médecins que monter à vélo peut être dangereux pour la fertilité des femmes.
Enfin, nous découvrons les vêtements et accessoires imaginés pour le sport automobile qui connaît un véritable engouement au début du 20e siècle. Gants, manteaux de fourrures pour se protéger du froid; cache-poussière en toile de lin ou de coton pour les jours plus chauds; chapeaux et casquettes avec voile; lunettes de conduite réalisées en matériaux nobles, du cuir à la soie en passant par la fourrure.
Toutes ces nouvelles activités conduisent inévitablement à des mutations dans la mode féminine, et notamment à la libération du corps des femmes. Une libération qui va s’accélérer avec la Première Guerre Mondiale (1914-18): alors que les hommes sont sur le front, les femmes prennent en main la vie du pays, travaillent à des tâches jusque-là considérées comme masculines et, en s’émancipant, elles vont opter pour une mode plus fonctionnelle.
Avec la fin de l’a guerre et l’entrée dans les années 1920, commencent ce qu’on appellera plus tard les Années Folles: la silhouette féminine se veut plus androgyne et plus simple dans la forme, mais elle apparaît en revanche riche d’ornements et ultra-accessoirisées -perles, pampilles, strass, plumes, pierreries, diadèmes, sautoirs. Le nombre de tenues quotidiennes se multiplient alors, de la robe de jour plus sobre aux habits de soirées richement parés de broderies, bijoux et autres matières précieuses. Car on sort et on danse beaucoup à cette époque! Les robes se raccourcissent ainsi pour suivre les rythmes endiablés du Charleston ou du Fox-Trot, et le mouvement est valorisé par les ajouts parfois excessifs de volants et de franges.
Par ailleurs, l’utilisation croissante de la maille, en particulier pour les vêtements de jour, comme le fera Gabrielle Chanel qui sera la première à travailler le jersey, renforce l’idée que le confort, comme le besoin de mouvement, est nécessaire à une femme en quête de liberté.
De la même façon, on va s’intéresser au développement technique des vêtements et accessoires pour gagner en performance sportive. Ce sera le cas avec la découverte du caoutchouc qui, grâce au procédé de vulcanisation inventé par Charles Goodyear aux États-Unis en 1839, va permettre la création de semelle plus souples et légères, idéales pour les sports de vitesse.
Changeons de décennie. Si les années 1920 consacrent la libération du corps féminin, les années 1930 vont le magnifier grâce à une maîtrise parfaite des lignes, des coupes et des volumes: la coupe en biais de Madeleine Vionnet (1876-1975) modèle ainsi le corps à la perfection par un savoir-faire et une utilisation précise des matières souples et floues. La silhouette s’allonge et se sophistique, tandis que la garde-robe se diversifie -tenues de matinée, de jour, de petit et grand soir, pyjama de soirée pour accueillir ses invités…
Dans le même temps, la mode d’une silhouette féminine longiligne prônée par les années 1920 et 1930 encourage les femmes à faire du sport et à prendre soin de leur corps. L’idéal féminin change, emmené par une image plus athlétique, dénudé et en mouvement, véhiculée dans les magazines. De leur côté, les tenues de sport font désormais bien partie de la garde-robe des hommes et femmes de l’époque. Ce sera le cas pour le tennis, pour lequel les hommes portent des costumes spécifiquement conçus, et les femmes s’habillent de jupes plus courtes pour plus d’aisance de jeu ; mais aussi pour le golf, ce sport nés en Écosse au 18e siècle et qui s’est développé au sein de la haute société européenne tout au long du 19e, avant de se professionnaliser au 20e siècle. C’est à cette époque, dans les années 1920-1930, que le golfeur va revêtir sa célèbre silhouette très reconnaissable, composée d’une veste -la norfolk- et d’une culotte bouffante -les knickerbockers-, souvent faites de tweed, cette matière confortable et étanche. Une tenue de golfeur que vont également s’approprier les femmes en portant à la ville, sweaters, cravates, ou encore pochettes…
Cependant, la créativité des années 1920 et 1930 va malheureusement être mise à mal par l’entrée en guerre de l’Europe en 1939. La Seconde Guerre Mondiale (1939-45) va contraindre les couturiers à repenser leur façon de créer la mode en raison de la rareté des matières premières, du rationnement et d’une économie en berne… Les silhouettes raccourcissent pour nécessiter une moindre utilisation de de tissus, les épaules se font plus carré, comme influencées par les tenues des militaires, et la taille se fait plus marquée. Le manque de matières traditionnelles -laine et soie- poussent également la mode à s’approprier de nouvelles fibres artificielles issues de l’industrie comme la cellulose ou la rayonne.
Après les frustrations de la guerre, les années 1950 ouvrent une décennie propice au renouveau créatif, notamment avec le New Look de Christian Dior en 1947. Les silhouettes s’ultra-féminisent avec des épaules arrondies, une taille affinée par l’usage de guêpières, et des hanches très marquées. Les volumes s’épanouissent, les robes du soir, longues ou courtes, remettent la Haute Couture parisienne sur le devant de la scène, et le prêt-à-porter, qui en est à ses balbutiements, apporte confort et modernité à la mode quotidienne, notamment sous l’influence du sportswear américain, avec des blousons et des pièces de maille.
Plus libres, les années 1960 vont totalement décloisonner la silhouette et les vêtements vont s’éloigner du corps. La mode s’inspire d’un futur imaginaire, métallisé et ultracoloré, à l’instar de la combinaison qui reprend les codes de la conquête spatiale tout en garantissant un confort extrême aux femmes qui la portent. La silhouette est en mouvement constant, comme la jeunesse en quête de plus de liberté. Bel exemple de cette émancipation: la minijupe de l’Anglaise Mary Quant qui se diffuse à grande vitesse comme le symbole d’un corps décomplexé et qui annonce la révolution sexuelle toute proche et la liberté insouciante des années 1970.
L’exposition nous transporte ensuite dans les années 1980. Une décennie où le corps prend toute sa valeur et devient l’objet de toutes les attentions. Les nouvelles générations de créateurs de mode -parmi lesquels Jean-Paul Gaultier, Claude Montana, Azzedine Alaïa ou Thierry Mugler- créent une mode spectaculaire, extravagante et visuelle, comme pour exorciser les crises économiques successives ou l’apparition tragique du sida. La silhouette, ultra structurée, n’en est pas moins féminine, et la mode, influencée par le sportswear qui se diffuse plus largement avec l’engouement pour l’aérobique, intègre la notion de confort aux choix esthétiques, accompagnée par l’émergence de nouvelles matières plus souples et élastiques.
Mais en réalité, ce sont les années 1990 qui voit s’imposer le sportswear comme véritable point de vue mode. Les matières innovent et se font plus techniques et performantes, les formes, plus minimalistes et fluides, garantissent un confort optimal. En parallèle, la Haute Couture renaît, portée par un subtil mélange entre les codes du sportswear et ceux d’un luxe sophistiqué. Cette mode de la fin du 20e siècle est également marquée par une diversité d’influences issues du monde de la musique (hip hop, grunge) ou des médias alors tout puissants (MTV, séries TV américaines…).
Pour conclure, l’exposition se termine par notre siècle, le 21e siècle, celui de l’hégémonie du confort et de la perméabilité entre les mondes du sport et de la mode. Les styles s’uniformisent avec la mondialisation et l’émergence des puissants réseaux sociaux. Les marques de mode s’associent avec les marques de sport et les collaboration esthético-sportives se multiplient. Ultime symbole de cette fusion des univers sportifs et créatifs: la basket ou sneaker, aujourd’hui icône de mode et objet recherché des collectionneurs.
Point anecdote: L’origine du mot «sport» et du mot «tennis»
Pour finir, je terminerais sur une anecdote sémantique: l’origine du mot sport. Si les anglais ont inventé le mot «sport» au 18e siècle pour désigner les activités et passe-temps qui se développent alors dans la haute société d’outre-Manche -course de chevaux, combats de boxe ou de lutte, chasse au renard…-, le terme est en réalité dérivé du français médiéval «desport» qui signifiait alors «amusement».
Il en est d’ailleurs de même pour le tennis inventé dans sa forme actuelle par les Britanniques. Son origine viendrait du jeu de Paume français, ce sport né au Moyen-Âge dans lequel deux joueurs, séparés par un filet, s’affrontent en se renvoyant une balle de cuir avec la paume de la main. Une main gantée ou parfois même accessoirisée d’une sorte de raquette avant l’heure. Conquis par ce jeu français, les Anglais l’auraient alors importé sur leur île au 15e siècle. Alors que les Français avaient pour coutume de crier haut et fort un «ténèts !» à leur adversaire, soit « tenez » en vieux français, les Anglais auraient alors transformé progressivement ce mot de «ténèts» en «tennis».
Le tennis anglais, joué avec des raquettes, s’institutionnalise dans sa forme moderne au 19e siècle lorsque le Major Walter Clopton Wingfield rédige et publie des règles officielles en 1874, dans lesquelles il est indiqué que le jeu se pratique sur gazon avec une balle en caoutchouc qui pouvait rebondir sur l’herbe. Ce tennis est alors nommé lawn-tennis (tennis sur gazon) par opposition au real-tennis (jeu de paume en anglais). Face au succès de ce jeu, un tournoi est organisé en 1877 : c’est le célèbre tournoi de Wimbledon qui définira ainsi les règles du tennis, la taille et la forme du terrain. En France, la Fédération Française du Lawn Tennis est créée en 1920, et les Internationaux de France, devenus le tournoi de Roland Garros, sont organisés dès 1925.
Les expositions du Palais Galliera sont toujours riches d’intérêt, de découvertes et de plaisir pour les yeux comme pour l’esprit. Je vous recommande donc vivement de visiter l’exposition « La Mode en mouvement ». Très documentée, elle nous fait voyager à travers les âges de la mode et du sport, tout en nous en disant beaucoup sur notre société actuelle.
À PROPOS DU PALAIS GALLIERA – MUSÉE DE LA MODE DE PARIS
En 1920, la Société de l’histoire du costume fait don de sa collection à la ville de Paris. Son Président, Maurice Leloir, appelle alors à la création d’un musée de la Mode. Les collections, d’abord exposées au Musée Carnavalet, s’installeront au Palais Galliera en 1977. Rénové et agrandi en 2020, le musée de la Mode propose des expositions autour de la création mode, mais aussi des rétrospectives inédites pour raconter l’histoire de la mode du 18e siècle à nos jours.
INFORMATIONS PRATIQUES
Le Palais Galliera-Musée de la Mode de Paris est ouvert tous les jours de 10h à 18h, sauf le lundi.
Toutes les informations, tarifs et réservations sont disponibles sur le site du musée.
SOURCES
Visite guidée de l’exposition
Dossier de presse de l’exposition
https://www.lequipe.fr/Coaching/Tous-sports/Actualites/Les-origines-du-tennis/1398316
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